Le Lac de la Tuilerie \u00e0 venerque (31) est une ancienne petite gravi\u00e8re qui constitue aujourd’hui une zone humide en eau presque toute l’ann\u00e9e. La zone verte qui l’entoure constitue un endroit de promenade familiale tr\u00e8s agr\u00e9able.<\/p>\n
Suite \u00e0 une menace de comblement de ce lac, un inventaire naturaliste a \u00e9t\u00e9 initi\u00e9 pour faire valoir la biodiversit\u00e9 que cet habitat accueille.<\/p>\n
La fin de l’hiver marquant le d\u00e9but de la saison de reproduction des amphibiens. C’est le moment o\u00f9 grenouilles, crapauds, tritons et salamandre migrent\u00a0vers le point d’eau le plus proche pour se reproduire. C’est \u00e0 cette p\u00e9riode que l’on peut les observer et aussi \u00e9couter leurs chants.<\/p>\n
Voici une galerie de photos et d’enregistrement sonores pris en ce d\u00e9but d’ann\u00e9e 2017 au Lac de la Tuilerie, qui t\u00e9moignent de la richesse \u00e9cologique du lieu. En effet, la liste des esp\u00e8ces d’amphibiens observ\u00e9s sur le site est longue. Presque toutes les esp\u00e8ces pr\u00e9sentes dans la r\u00e9gion y sont repr\u00e9sent\u00e9es : Le crapaud commun (Bufo bufo<\/em>), le crapaud calamite (Bufo calamita<\/em>), le p\u00e9lodyte ponctu\u00e9 (Pelodytes punctatus<\/em>), la rainette m\u00e9ridionale (Hyla meridionalis<\/em>), la grenouille agile (Rana dalmatina<\/em>), les grenouilles vertes (Pelophylax sp.<\/em>), le triton palm\u00e9 (Lissotriton helveticus<\/em>), le triton marbr\u00e9 (Triturus marmoratus<\/em>) et la salamandre tachet\u00e9e (Salamandra salamandra<\/em>). Le site pr\u00e9sente aussi un habitat favorable \u00e0 l’alyte accoucheur (Alytes obstetricans<\/em>) mais il n’a pas encore \u00e9t\u00e9 vu (\u00e0 vos lampes torches!).<\/p>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n Le Lac de la Tuilerie \u00e0 venerque (31) est une ancienne petite gravi\u00e8re qui constitue aujourd’hui une zone humide en eau presque toute l’ann\u00e9e. La zone verte qui l’entoure constitue un endroit de promenade familiale tr\u00e8s agr\u00e9able.<\/p>\n Suite \u00e0 une menace de comblement de ce lac, un inventaire naturaliste a \u00e9t\u00e9 initi\u00e9 pour faire valoir la biodiversit\u00e9 que cet habitat accueille.<\/p>\n La fin de l’hiver marquant le d\u00e9but de la saison de reproduction des amphibiens. C’est le moment o\u00f9 grenouilles, crapauds, tritons et salamandre migrent\u00a0vers le point d’eau le plus proche pour se reproduire. C’est \u00e0 cette p\u00e9riode que l’on peut les observer et aussi \u00e9couter leurs chants.<\/p>\n Voici une galerie de photos et d’enregistrement sonores pris en ce d\u00e9but d’ann\u00e9e 2017 au Lac de la Tuilerie, qui t\u00e9moignent de la richesse \u00e9cologique du lieu. En effet, la liste des esp\u00e8ces d’amphibiens observ\u00e9s sur le site est longue. Presque toutes les esp\u00e8ces pr\u00e9sentes dans la r\u00e9gion y sont repr\u00e9sent\u00e9es : Le crapaud commun (Bufo bufo<\/em>), le crapaud calamite (Bufo calamita<\/em>), le p\u00e9lodyte ponctu\u00e9 (Pelodytes punctatus<\/em>), la rainette m\u00e9ridionale (Hyla meridionalis<\/em>), la grenouille agile (Rana dalmatina<\/em>), les grenouilles vertes (Pelophylax sp.<\/em>), le triton palm\u00e9 (Lissotriton helveticus<\/em>), le triton marbr\u00e9 (Triturus marmoratus<\/em>) et la salamandre tachet\u00e9e (Salamandra salamandra<\/em>). Le site pr\u00e9sente aussi un habitat favorable \u00e0 l’alyte accoucheur (Alytes obstetricans<\/em>) mais il n’a pas encore \u00e9t\u00e9 vu (\u00e0 vos lampes torches!).<\/p>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n Le Lac de la Tuilerie \u00e0 venerque (31) est une ancienne petite gravi\u00e8re qui constitue aujourd’hui une zone humide en eau presque toute l’ann\u00e9e. La zone verte qui l’entoure constitue un endroit de promenade familiale tr\u00e8s agr\u00e9able.<\/p>\n Suite \u00e0 une menace de comblement de ce lac, un inventaire naturaliste a \u00e9t\u00e9 initi\u00e9 pour faire valoir la biodiversit\u00e9 que cet habitat accueille.<\/p>\n La fin de l’hiver marquant le d\u00e9but de la saison de reproduction des amphibiens. C’est le moment o\u00f9 grenouilles, crapauds, tritons et salamandre migrent\u00a0vers le point d’eau le plus proche pour se reproduire. C’est \u00e0 cette p\u00e9riode que l’on peut les observer et aussi \u00e9couter leurs chants.<\/p>\n Voici une galerie de photos et d’enregistrement sonores pris en ce d\u00e9but d’ann\u00e9e 2017 au Lac de la Tuilerie, qui t\u00e9moignent de la richesse \u00e9cologique du lieu. En effet, la liste des esp\u00e8ces d’amphibiens observ\u00e9s sur le site est longue. Presque toutes les esp\u00e8ces pr\u00e9sentes dans la r\u00e9gion y sont repr\u00e9sent\u00e9es : Le crapaud commun (Bufo bufo<\/em>), le crapaud calamite (Bufo calamita<\/em>), le p\u00e9lodyte ponctu\u00e9 (Pelodytes punctatus<\/em>), la rainette m\u00e9ridionale (Hyla meridionalis<\/em>), la grenouille agile (Rana dalmatina<\/em>), les grenouilles vertes (Pelophylax sp.<\/em>), le triton palm\u00e9 (Lissotriton helveticus<\/em>), le triton marbr\u00e9 (Triturus marmoratus<\/em>) et la salamandre tachet\u00e9e (Salamandra salamandra<\/em>). Le site pr\u00e9sente aussi un habitat favorable \u00e0 l’alyte accoucheur (Alytes obstetricans<\/em>) mais il n’a pas encore \u00e9t\u00e9 vu (\u00e0 vos lampes torches!).<\/p>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n Le Lac de la Tuilerie \u00e0 venerque (31) est une ancienne petite gravi\u00e8re qui constitue aujourd’hui une zone humide en eau presque toute l’ann\u00e9e. La zone verte qui l’entoure constitue un endroit de promenade familiale tr\u00e8s agr\u00e9able.<\/p>\n Suite \u00e0 une menace de comblement de ce lac, un inventaire naturaliste a \u00e9t\u00e9 initi\u00e9 pour faire valoir la biodiversit\u00e9 que cet habitat accueille.<\/p>\n La fin de l’hiver marquant le d\u00e9but de la saison de reproduction des amphibiens. C’est le moment o\u00f9 grenouilles, crapauds, tritons et salamandre migrent\u00a0vers le point d’eau le plus proche pour se reproduire. C’est \u00e0 cette p\u00e9riode que l’on peut les observer et aussi \u00e9couter leurs chants.<\/p>\n Voici une galerie de photos et d’enregistrement sonores pris en ce d\u00e9but d’ann\u00e9e 2017 au Lac de la Tuilerie, qui t\u00e9moignent de la richesse \u00e9cologique du lieu. En effet, la liste des esp\u00e8ces d’amphibiens observ\u00e9s sur le site est longue. Presque toutes les esp\u00e8ces pr\u00e9sentes dans la r\u00e9gion y sont repr\u00e9sent\u00e9es : Le crapaud commun (Bufo bufo<\/em>), le crapaud calamite (Bufo calamita<\/em>), le p\u00e9lodyte ponctu\u00e9 (Pelodytes punctatus<\/em>), la rainette m\u00e9ridionale (Hyla meridionalis<\/em>), la grenouille agile (Rana dalmatina<\/em>), les grenouilles vertes (Pelophylax sp.<\/em>), le triton palm\u00e9 (Lissotriton helveticus<\/em>), le triton marbr\u00e9 (Triturus marmoratus<\/em>) et la salamandre tachet\u00e9e (Salamandra salamandra<\/em>). Le site pr\u00e9sente aussi un habitat favorable \u00e0 l’alyte accoucheur (Alytes obstetricans<\/em>) mais il n’a pas encore \u00e9t\u00e9 vu (\u00e0 vos lampes torches!).<\/p>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n<\/div>\n Voici une s\u00e9lection d’enregistrements sonores \u00e0 la nuit tomb\u00e9e au lac de la tuilerie. Les chants des grenouilles et crapaud se m\u00e9langent pour un concert bien original. On peut distinguer certains chants. La grenouille verte reste celle qui fait le plus de bruit mais le crapaud calamite peut lui faire concurrence quand il est l\u00e0.<\/p>\n – Le chant des grenouilles vertes :<\/p>\nInventaire naturaliste au Lac de la Tuilerie<\/h2>\n
Inventaire naturaliste au Lac de la Tuilerie<\/h2>\n
Inventaire naturaliste au Lac de la Tuilerie<\/h2>\n
Ambiance sonore<\/h2>\n